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samedi 20 juin 2015

Geometre expert foncier


La profession de géomètre expert foncier n’est pas suffisamment réglementée et pas assez « protégée ». C’est ce qu’a indiqué le président du Conseil national de l’Ordre des géomètres experts fonciers (OGEF).

Rym Nasri - Alger (Le Soir) - Quelle est la situation de l’exercice de la profession de géomètre expert foncier en Algérie ? Une question qui préoccupe énormément l’OGEF, vingt ans après la création de cette profession.

« Les tâches de géomètre prêtent beaucoup à confusion dans l’intervention de certains professionnels, d’où la nécessité de bien les protéger par des textes bien définis », a affirmé le président du Conseil national de l’OGEF, Sebti Sidhoum, hier, en marge de la 6e assemblée générale de l’Ordre des géomètres experts fonciers, tenue à l’hôtel Sheraton à Alger.

Il précise que depuis la promulgation de la loi en 1995, seul un décret exécutif s’en est suivi une année plus tard pour organiser les structures de l’OGEF. Un décret qui, en réalité, n’a concerné que l’organisation des conseils régionaux et leur fonctionnement. « Il n’y a eu depuis aucun autre texte », précise-t-il avant de plaider pour une « confortation » sur le plan réglementaire. « La loi a toujours besoin de textes d’application », a-t-il ajouté.

Il a également plaidé pour la tenue d’un Conseil supérieur de l’OGEF. « Le tout dernier a eu lieu en 1999 alors que la réglementation stipule à ce qu’il se tienne tous les ans », a-t-il rappelé.

En l’absence d’une réglementation suffisante, l’exercice de la profession de géomètre expert foncier continue de rencontrer de nombreux problèmes à l’échelle nationale. « Sur la scène internationale, l’Algérie est classée parmi les premiers pays en matière de problèmes juridiques et de problèmes liés à la justice au foncier », soutient encore Sebti Sidhoum.

Tous ces problèmes, assure-t-il, n’ont point affecté le professionnalisme dont font preuve les géomètres experts fonciers à travers tout le territoire national.

Il cite ainsi de nombreux projets réalisés avec la rapidité exigée grâce à ces professionnels tel que le projet de l’autoroute.

« Les géomètres ont participé et joué leur rôle notamment dans le cadre des expropriations ».

Le président du conseil national de l’Ogef évoque, en outre, le volet formation de ces spécialistes. Pour lui, la formation des géomètres doit être adaptée avec l’exercice de la profession. « L’Algérie dispose d’une école créée avant la création de l’Ordre qui forme des ingénieurs en topographie et en géodésie. Nous réclamons à ce que le programme de formation soit adapté avec l’exercice de la profession afin de pouvoir répondre aux besoins de l’économie nationale », dit-il.

Le Soir d’Algérie Mercredi 19 novembre 2014

fr.wikipedia.org - Géomètre-expert
ANSEJ - Cabinet de Géomètres Métreurs.pdf
Fiche sur la législation foncière actuelle en Algérie.pdf
www.ogef-dz.com

Algérie - Manœuvres en préparation a un séisme destructeur


mercredi 3 juin 2015

AMENHIS Mars-Avril 2012


L'architecture de demain, humaine, vrvablo. complètement intégrée aux éléments naturels indispensables a l'épanouissement et au bonheur de l'homme ; voilà un sujet de réflexion que devraient saisi architectes, urba-nistes et autres spécialistes.
M'Hamed Sahraoui

lundi 1 juin 2015

8 plans de maisons individuelles signes M'hamed Sahraoui



L'architecture de demain, humaine, vivable, complètement intégrée aux éléments naturels indispensables à l'épanouissement et au bonheur de l'homme ; voilà un sujet de réflexion que devraient saisir architectes, urbanistes et autres spécialistes. Car en Algérie, il faudrait bien l'admettre, jusqu'à l'heure actuelle il n'est pas tenu compte, ou si peu, de la riche expérience de beaucoup de pays dans le monde. Toujours et encore s'érigent d'immenses cités-dortoirs, agressives à la vue, génératrices de mal-vie, allant du simple ennui à la morosité chronique, inhibitrices, et par conséquent porteuses de potentiels préjudices aux plans social et psychologique. Alors qu'à l'ère du numérique et d'une qualité de vie plus adaptée aux progrès technologiques nombre d'Etats font de plus en plus appel à cette réflexion pluridisciplinaire à la recherche d'une meilleure réadaptation de l'architecture et de l'urbanisme, chez nous l'environnement se dégrade. Des plans-types de bâtiments rectangulaires, monotones et sans âme sont systématiquement transposés à travers le territoire national. Sans prise en compte du mode de vie des populations. Sans espaces verts et de loisirs. Rien. Rien qui ressemble à un espace vert ou à une sphère communautaire rappelant une vie de quartier. Les enfants n'ont pas d'autre alternative pour s'amuser que d'aller jouer dans des rues étroites où le danger les guette à tout moment, sous la chaleur ou sous la pluie. L'édification des ces grandes cités dépourvues des aménagements et des accompagnements requis, de dessertes obligées et par des lignes de transport appropriées, portent un coup fatal à l'épanouissement d'une population le plus souvent active mais privée d'un cadre de vie décent. En fin de compte, le respect que l'on doit à l'architecture est un peu comme celui qu'on doit à un pays. Il est étroitement lié, aussi, aux valeurs culturelles et à la civilisation de ce pays. Du point de vue sociologique, le paysage algérien a fortement changé. Les repères et les références ont évolué. Et surtout, l'Algérie actuelle représente un très riche vivier de jeunes (qui atteint environ 70% de la population) tournés vers l'avenir, branchés eux également à l'ère de la parabole et du numérique, qui en veulent ; et pas tous destinés aux groupuscules harraga, loin s'en faut. C'est vers cette immense richesse qu'il y a urgence de penser en termes d'architecture moderne, humaine, vivable. Il s'agit de canaliser ce formidable réservoir d'énergies dans un projet de société à la hauteur de l'œuvre titanesque que connaîtra le développement inévitable de note pays, dans une communion valorisante et porté par tous ses habitants.

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