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dimanche 31 mars 2013

Seisme a Taiwan


Un puissant séisme a fait trembler des immeubles dans la capitale taïwanaise Taipei mercredi, et a été ressenti sur tout le territoire, faisant au moins un mort et dix-neuf blessés.

lci.tf1.fr



Bougnoule-Ville en 2030


ŒUVRE DU GRAND ARCHITECTE RICARDO BOFILLL

Une capitale de rêve pour l'Algérie

Après la banque, le transport aérien, les stations de dessalement et la télévision, le groupe privé Khalifa s'attaquera prochainement à son plus ambitieux projet, celui de la construction de toutes pièces d'une ville dans le désert, baptisée Algeria.

samedi 30 mars 2013

Cherchell n'est pas une ville romaine !

www.fadma.be
Originaire de Miliana, Mahfoud Ferroukhi a suivi des études d'archéologie en Grèce durant les années 80, il est nommé conservateur du musée de Cherchell. Pendant quatre longues années, il effectue de profondes recherches sur Juba II. Quelque temps plus tard, on lui a confié le poste de directeur de la maison de restauration de La Casbah d'Alger, pour occuper ensuite le poste de sous-directeur de l'archéologie au ministère de la Culture. Il a obtenu son doctorat d'archéologie et d'histoire d'art à l'université de Montpellier avec mention très honorable et félicitations du jury. Dans cet entretien, ce chercheur algérien évoquera avec beaucoup de passion l'histoire de l'Algérie et l'état actuel des sites historiques et du patrimoine en dégradation constante.

L'Authentique : Dernièrement vous avez soutenu une thèse de doctorat en archéologie, peut-on connaître le thème et les résultats de cette étude ?

Dr. Ferroukkli Mahfoud : Le thème de cette recherche qui a duré plusieurs années aborde deux sujets : la sculpture à Cherchell et les sculptures des rois numides. Le premier est la réhabilitation et la reconsidération de la personnalité et l'œuvre de Juba II, notre ancêtre. Le deuxième est la correction de toutes les études déjà établies afin d'apporter une nouvelle vision des portraits en sculptures sur les numismatiques et les monnaies des rois numides de Juba II et de son fils Ptolémée en particulier. Et enfin le troisième constat, c'est que au bout de ma recherche, je suis arrivé à démontrer qu'à Cherchell. à l'époque de Juba II il existait un très grand atelier de sculpture de qualité et de renommée.

samedi 23 mars 2013

Etablissement de developpement des espaces verts d'Alger (Edeval)


Le champ d'action de l'Epic Edeval (Etablissement de développement des espaces verts d'Alger) couvre 28 communes relevant de neuf circonscriptions administratives. Le patrimoine à entretenir est constitué de 610 sites, totalisant 1 396 955 m2. D'après un document remis par Kamel Yacoub, chef de département des espaces verts (DEV), ce patrimoine englobe 11 parcs, 85 jardins, 36 places, 26 placettes; 368 points verts, 63 talus et 22 refuges et le traitement de 21 680 arbres d'alignement.

Outre les agents de soutien technique et le personnel administratif, l'effectif global de l'établissement, qui s'élève à 1330 employés, est composé majoritairement de jardiniers qualifiés, de jardiniers simples et de manoeuvres. Au plan d'action prévisionnel de l'année 2012, il est prévu d'engager 30 agents supplémentaires par rapport à l'exercice de l'année précédente, afin de parer à certaines carences constatées au niveau des unités opérationnelles. Pour concrétiser ce plan d'action établi en collaboration avec la tutelle, l'Epic compte sur deux principales structures : les unités opérationnelles et les pépinières.

Les premières se chargent de l'entretien des espaces verts et de toutes les tâches relatives à l'intervention directe sur terrain. Elles sont introduites dans les circonscriptions administratives de Sidi M'hamed, Hussein Dey, El Harrach, Bir Mourad Raïs, Bab El Oued, Bouzaréah, Chéraga, Baraki et Dar El Beïda. Les secondes produisent pour les besoins des espaces verts suivant le plan d'action qui détermine le budget. Dans la wilaya, on dénombre six pépinières implantées à Bab Ezzouar, El Alia, Belfort, Kouba, Ben Aknoun et Bouchaoui. « Nous travaillons en collaboration avec les centres de formation. Les gérants de ces institutions nous consultent, et nous on se charge de les éclairer sur certains volets et modules à intégrer dans la formation. L'établissement a incorporé des jardiniers qualifiés issus de ces centres et aussi des centres d'horticultures. J'ajouterai encore qu'une formation interne a été accordée à certains de nos agents », a précisé le chef du département des espaces verts.

vendredi 22 mars 2013

The Practice and Science of Prefabrication at the Cutting Edge


Although prefabrication is not new to the practice of architecture, its full potential, particularly in residential design and construction, has yet to be realized. The time for architects to take the lead in realizing this potential is now. New concepts and technologies in prefabrication are creating exciting new architecture and opening the opportunity for architects to influence a larger segment of the construction industry. Not only will prefabrication expand architects' influence, it will also help revitalize residential neighborhoods, influence sustainable design, and provide lower-cost home-ownership alternatives.



Exposition de Terre et d'Argile




www.liberte-algerie.com

mercredi 20 mars 2013

Extension de l'Aeroport Houarie Boumediene (Alger)


L'aéroport international d'Alger - Houari Boumédiène, (code AITA : ALG • code OACI : DAAG), ou, lors de sa création en 1924 aéroport d'Alger-Maison Blanche, est un aéroport algérien, situé sur la commune de Dar El Beïda à 16 km à l'est d'Alger.

Il s'agit du plus important de tous les aéroports algériens. Sa capacité actuelle est d'environ 12 millions de passagers par an pour un flux réel de plus ou moins 4,5 millions en 2009. Il est composé d'un aérogare pour les vols internationaux, inaugurée le 5 juillet 2006, d'un aérogare pour les vols intérieurs, et d'un troisième pour les vols charters. L'aéroport d'Alger a été classé meilleur aéroport africain en 2011.

fr.wikipedia.org - Aéroport d'Alger - Houari Boumédiène



Le Port de Tenes


Situé dans la wilaya de Chlef, le port de Ténès occupe une position géographique stratégique en ce sens qu'il se situe à proximité du cap de Ténès, un des principaux axes de navigation en Méditerranée.

Bien qu'il soit de construction trés ancienne (1868-1907), le port de Ténès a été de tout temps considéré comme un port à activités multiples (commerce, pêche, plaisance).

www.portdetenes.dz



lundi 18 mars 2013

Tamentfoust


Rusguniaie était son nom. Edifiée par les Puniques, cette cité antique, sur laquelle Byzantins, Romains et turcs se sont ensuite succédé, risque d'être définitivement rayée de la carte archéologique algérienne. Enfouie sous l'actuelle Tamentefoust, à l'est de la capitale, l'un de ses sites, implanté au sud-est de la localité, a été exhumé par les bulldozers. Ses pierres séculaires déterrées ont été jetées pêle-mêle dans la nature. À la place, le béton a coulé ses fondations et des villas cossues ont été érigées. À qui profite le crime ? Hier, lorsque nous nous sommes déplacés sur le site, un lotissement huppé flambant neuf, des maçons s'affairaient autour d'une construction encore en chantier. À quelques pas d'une carcasse nue, les vestiges d'un thermes (un établissement de bain romain) dépérissaient à ciel ouvert.

Envahi par les herbes, il est aussi encerclé par le béton rampant.

Ultime subside de la razzia vandale et de l'érosion du temps, il risque à son tour, aujourd'hui, d'être englouti par la déferlante urbaine.

À son tour, car partout où s'est risqué notre regard, des maisons dressées les unes à côté des autres font offense au passé. Leurs propriétaires ont détruit une civilisation pour y bâtir leur confort.

vendredi 15 mars 2013

Finitions decoratives (baguettes et corniches)


Voici un chapitre bien agréable à aborder, puisqu'il vient lorsque le plus gros travail, le plus fatiguant ou le plus salissant, est terminé.

Réaliser les finitions, c'est parfaire son oeuvre, fignoler son décor et pouvoir se dire, bientôt je n'aurai plus qu'à jouir d'un repos bien mérité dans une maison aménagée de mes mains, répondant à tous mes souhaits.

Qu'y a-t-il de plus agréable pour un bricoleur ?

Introduction

1) Vous avez posé du tissu sur les murs, collé ou tendu, et vous désirez y apposer du galon pour en souligner certaines parties ou tout simplement pour dissimuler les agrafes ayant servi à la pose.
2) Vous désirez agrémenter vos doubles-rideaux de passementerie.
3) Pour mettre vos plafonds et murs en valeur la pose d'une corniche vous tente.
4) Pour donner plus de « style » à une simple porte isoplane vous voulez la garnir de moulures baguettes.

Les moulures

Le terme de moulure recouvre tous les genres de baguettes décoratives (corniches, plinthes, stylobates, etc.).
Ce terme est apparu au début du XVe siècle, mais l'emploi de ce type de décoration se retrouve dans la pierre ou le marbre des constructions assyriennes, égyptiennes ou grecques. Elle est, quelquefois même, représentée simplement en trompe-l'oeil comme à Pompéi.
Elle devient ensuite omniprésente dans nos cathédrales gothiques (Paris, Chartres, etc.) et dans les châteaux de la Renaissance (vallée de la Loire).
Mais c'est au XVIIIe siècle qu'elle trouve pleinement sa place, grâce au décor raffiné et discret qui caractérise l'architecture intérieure française.
Depuis, la moulure continue à être beaucoup employée, même par les « designers » et en esthétique industrielle.
De nos jours, elle fait partie de tous les décors, qu'ils s'inspirent d'un style historique ou qu'il s'agisse de contemporain raffiné.


jeudi 14 mars 2013

AS Magic Ascenseur pour personnes




Annaba


Annaba (en arabe عنابة), anciennement Bône durant la colonisation française et Hippone dans l'Antiquité, est la quatrième ville d'Algérie en nombre d'habitants après la capitale Alger, Oran et Constantine, chef-lieu de la wilaya d'Annaba, située à 152 km au nord-est de Constantine, à 246 km à l'est de Jijel et à environ 100 km à l'ouest de la frontière tunisienne. Annaba est également une métropole littorale dont la population dépasse 600 000 habitants2. Au ve siècle, Hippone est devenue un important foyer du christianisme sous l'épiscopat de saint Augustin évêque de la ville de 396 jusqu'à sa mort en 4303.

fr.wikipedia.org - Annaba




mercredi 13 mars 2013

Topographie, cartographie et geomorphologie


La géomorphologie (du grec γῆ, Gaïa, la Terre, μορφή, morphe la forme et λόγος, logos, l’étude) est l'étude scientifique des reliefs et des processus qui les façonnent, sur les planètes telluriques.

dimanche 10 mars 2013

Lumion


Lumion is a real-time 3D architectural visualization tool for architects, urban planners and designers.

It is a serious alternative to traditional rendering or outsourcing visualizations.



www.youtube.com - Lumion3D

قصر أحمد باي Algerie - Kasr Ahmed Bey




قصر قرقرة عين الدفلى


هذه الاثار عبارة عن قصر للملكة قرقرات زوجة يوبا الثاني الذي يوجد له قصر بمدينة شرشال التي لا يفصلها عنها سوى الحاجز الطبيعي الذي يتمثل في سلسلة جبال الظهرة ويكون هذا الملك قد اهدى هذا القصر لزوجته كعربون محبة سنة 462 قبل الميلاد فيما تذهب الاراء الى كونه مركز عبور للقادة الرومانين وجنودهم



jeudi 7 mars 2013

Mosquees anciennes de Constantine


S'il l'on admet que la ferveur religieuse se mesure entre autres au nombre de minarets érigés, alors Constantine occupera une place privilégiée. Qualifiée dans les chroniques d'il y a deux siècles de « ville aux cent mosquées », son nom est depuis resté associé à un certain rigorisme religieux. Souvent abusivement.

Même si l'on fait abstraction de l'état actuel de la pratique religieuse, identique un peu partout avec ses hérésies et ses tartufes, il reste que par le passé, Constantine avait connu un épanouissement très grand de la diffusion de la religion. Il suffit pour cela de faire le recensement de génération en génération de grands bâtisseurs de mosquées. A la gloire de Dieu et pour leur postérité personnelle, les beys de la cité se sont, chacun à sa façon, illustrés durant leur règne en parrainant un ouvrage.

Plusieurs de ces mosquées, aujourd'hui disparues, portaient la marque d'un goût artistique sûr, affirment les mémorialistes. Leur disparition fut essentiellement le fait de la barbarie des Français qui saccagèrent les lieux de culte avec souvent l'onction de l'Eglise.

mardi 5 mars 2013

Minarets d'Algerie


Les monuments religieux d'Algérie n'ont ni l'ancienneté ni le passé glorieux des mosquées de Kaïraouan et de Tunis ni la majesté de la Grande mosquée de Cordoue. Cependant, malgré leur édification tardive et leurs dimensions modestes, ils n'en présentent pas moins un grand intérêt.

LA ART musulman, certes, n'a pas attendu le XIe siècle pour faire son apparition en Algérie. Déjà, dès le Ville siècle, l'imam Abderrahmane Ben Rustum et ses successeurs édifiaient leur capitale Tâhart à proximité de l'actuelle Tiaret et des vestiges de leur Qaçba ont été mis au jour au cours de fouilles entreprises en 1941.

A la même époque de ce VIIIe siècle, et plus précisément en 790, Idris 1er après avoir conquis Agadir, l'ancienne Tlemcen, y bâtissait une mosquée, reconstruite par son fils quelque vingt-cinq ans plus tard.

Un siècle après, en 908, Sédrata, à quelques kilomètres au sud-ouest de Ouargla, était fondée par les Ibâdites de Tâhart, chassés de leur capitale par les Fâtimides. Là encore, des fouilles ont permis de découvrir les vestiges d'une mosquée et d'un palais.



Sidi Oqba - سيدي عقبة

Quelques années plus tard, en 936, Ziri Ben Menaâd bâtissait Achir, dans le Titteri, où les fouilles entreprises ont mis au jour un palais et une mosquée.

Enfin, à une date qui ne nous est pas connue d'une manière précise (Xe siècle ?), fut édifiée la mosquée du Vieux-Ténès, l'unique monument religieux antérieur à cette époque et qui nous soit parvenu à peu près intact.

Ainsi donc, il existait des monuments religieux avant le XIe siècle, mais si l'on excepte les panneaux de plâtre sculptés de Sédrata, toutes les autres fondations ne présentent qu'un faible intérêt du point de vue artistique.

Au contraire, le XIe siècle peut être considéré comme l'âge d'or de la civilisation musulmane en Algérie. Zirides, Hammadites, Al-moravides, Mérinides ... nous ont laissé des monuments dont plusieurs jouissent d'une réputation méritée.

C'est sous le règne de Al-Muiz (1016-1062), le plus célèbre des souverains zirides, que fut édifiée la mosquée de Sayidi Abou Marwan à Annaba et embelli le tombeau de Sayidi Uqba, près de Biskra. Ces deux oeuvres s'inspirent, la première de la mosquée de Sfax, reconstruite aux X-XIe siècles et la seconde, de la bibliothèque offerte par le prince ziride à la grande mosquée de Kaïraouan.

Les Hammadites, comme s'ils avaient voulu manifester leur indépendance vis-à-vis de leur cousin d'Afrique, en art aussi bien qu'en politique, semblent avoir délaissé quelque peu les modèles zirides pour puiser leur inspiration dans les monuments aghlabides, fâtimides et andalous.

Tandis que les Béni-Hammad régnaient à El Kala et à Béjaïa, les Al-moravides, venus du Maghreb extrême, faisaient de Tlemcen une des capitales de leur empire et dotaient l'Algérie des trois grandes mosquées de Tlemcen, Alger et Nedroma. Avec eux, l'influence de l'Afrique disparaît presque totalement et c'est la Grande mosquée de Cordoue (Cordoba), les palais de El-Zahra et l'Aljaféria de Saragosse que vont prendre pour modèles leurs architectes.

Les Almohades, qui ont succédé aux Hammadites et aux Al-moravides en Algérie, n'ont laissé sur notre sol aucun monument digne de ce nom. Ils ont sans doute travaillé à la Grande mosquée de Tlemcen. On peut expliquer l'absence de monuments religieux almohades importants en Algérie par le fait que les Almohades se sont surtout intéressés au Maghreb extrême et à l'Andalousie si chère à leur coeur.

Les Mérinides, enfin, ont un art qui présente bien des ressemblances avec celui de leurs contemporains. Comme eux, ils ont contribué à l'enrichissement de l'art musulman en faisant une large place au décor sur plâtre et sur mosaïque de faïence.

Des inscriptions commémoratives et le style architectural incitent à visiter ces édifices mal connus, mais qui font partie intégrante de notre patrimoine culturel.

M. Medjoubi

L'Authentique mercredi 17 septembre 1997

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