Je préfère présenter ce reportage sous le titre ci-dessus parce qu'un pays, aussi développé économiquement, a toujours besoin d'un marché populaire. Hier, je me rappelle qu'il existait des marchés pour hommes et pour femmes avec un jour et un lieu spécifique.
Aujourd'hui, avec la "lâcheté" des pouvoirs publics, on a laissé faire pour éviter des mini émeutes dans les banlieues touchées par le "déblayage", et ce ne fut pas le cas puisque la plupart de ces marchés "parasites" fermés furent suivis d'affrontements entre les forces de l'ordre et les occupants, avec blessés et parfois des morts (non confirmé).
Pour assainir la situation, l’État ne doit pas se voiler la face devant les mercantiers de la république et stipuler, si pouvoir et savoir lui sont disposés, de "réprimer" seulement des jeunes dont la plupart sont sans le sou.
Des projets farfelus se sont vus jaillir de nulle part avec les appellations fanfaronnes de "projet flane" pour la jeunesse etc, mais tout n’était en fait que feu de poudre car la jeunesse a qui ces projets ont été destinés n'ont jamais été mis au courant pour la simple raison qu'ils ne possèdent et ne posséderont aucune estime par ceux mêmes qui les épelent des bouts des levers pour redorer leur blason politique de saison ...