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mercredi 29 octobre 2014
Torchis - Guide de construction parasismique
Les précédents historiques montrent que la construction mixte a été présente tout au long du développement des civilisations qui ont peuplé notre planète et que l'homme a appris à construire ses maisons en utilisant le matériaux terre et éléments végétaux, donnant ainsi naissance à des formes d'habitations intéressantes qui dénotent une culture de la construction intelligente.
Aujourd'hui, dans différentes parties du monde, on peut apprécier ce patrimoine de la construction et également vérifier la poursuite de son développement, malgré les colères de la nature et en particulier les tremblements de terre.
mardi 28 octobre 2014
Theodolite - Mise en station et Implantation
Nomenclature et mise en station
La technique d'implantation
Implantation sur chaises
samedi 25 octobre 2014
La rue ROHAULT DE FLEURY (Constantine)
Le Colon construit ce que l’indigène arabe DÉTRUIT !
Pour célébrer la culture Arabe en Algérie : UN TRÈS BEL EXEMPLE DE LA BARBARIE !
http://www.engival.fr/const-rohault.htm
mercredi 22 octobre 2014
Promenade des sablettes, Alger
Aménagement : Meditram (Méditerranéenne des travaux maritimes)
Lieu : El Harrach – El Annasser, Alger
Longueur : 4.5km
Coût : 20 milliards de Dinars
Année : 2012 (en cours)
www.binyen.com
vendredi 17 octobre 2014
jeudi 16 octobre 2014
mercredi 15 octobre 2014
Lire et realiser les plans de maisons de plain-pieds
Les trois projets originaux des maisons de plain-pied permettent d’appréhender les notions fondamentales et pratiques du dessin technique en 2D et 3D. Ces projets associent les systèmes constructifs et les matériaux afin de présenter un large choix de solutions techniques pour apprendre à lire et à réaliser les plans avec des logiciels de CAO-DAO.
dimanche 12 octobre 2014
Projet de la Grande Mosquee d'Alger
Comment rattraper le retard
En septembre dernier, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, avait soulevé un retard des travaux estimé à sept mois.
La Grande Mosquée d’Alger crée la polémique avant même son achèvement, prévu en 42 mois. La mise du projet sous la tutelle du ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville cache mal le retard constaté sur les lieux. Le ministre de tutelle, Abdelmadjid Tebboune a affirmé, hier à Alger, lors d’une visite sur le chantier, qu’ « une réunion avec le bureau d’étude et l’entreprise en charge des travaux apportera les réponses au moindre détail ».
« Nous allons essayer de trouver des solutions consensuelles à partir d’aujourd’hui (hier, ndlr) », soutient-il. La visite opérée dans la matinée d’hier par M. Tebboune, accompagné du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, est la première du genre depuis que le projet est passé sous « la loupe » du ministère de l’Habitat. Les différents établissements de la future Grande Mosquée ont été inspectés, notamment les sous-sols où sont installés des procédés de haute technologie destinés à amortir les effets séismes.
Il faut noter qu’au cours du mois de septembre, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, avait soulevé un retard des travaux estimé à sept mois. Le projet a été décrié par une partie de la société une fois programmé par le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, vu son coût exorbitant. L’opposition à ce projet s’est faite ressentir dans la sphère médiatique une fois les travaux commencés, en août 2012. Mais sans réel impact. Seuls quelques activistes sur les réseaux sociaux ont présenté leurs argumentaires et ont essayé de mobiliser. Le principal motif est le montant élevé attribué à ce chantier : un budget initial d’un milliard d’euros. « Reste à savoir si ce chiffre ne sera pas surévalué », s’interroge-t-on.
De son côté, l’entreprise chinoise chargée de la réalisation de la mosquée, China State Construction Engineering Corporation, a annoncé le recrutement de 3000 ouvriers pour combler le déficit en matière de main-d’oeuvre. Des experts algériens ont cependant, à maintes reprises, mis en relief les incohérences d’un tel projet. Les uns rappelaient la sismicité élevée de la zone de Mohammadia, quartier dans lequel est en cours de construction la mosquée, tandis que d’autres considéraient le périmètre comme inondable.
M. B.
El Watan 12.10.2014
Sauvegarde de l'architecture de montagne
SAUVEGARDE DE L’ARCHITECTURE DE MONTAGNE DU SECOND APRÈS-GUERRE
Requalification d’un site en montagne : Le cas de Flaine (Haute-Savoie, France)
vendredi 10 octobre 2014
La Maison Ecologique N37 2007
J'ai vu un papillon le jour de l'Epiphanie. Au début ça surprend. Puis on s'y fait. C'est comme les camélias en fleur, les pissenlits qui pointent leur jaune vif, les oiseaux qui gazouillent et s'affairent. Cette douceur de début d'année, qui bat des records, nous ferait presque oublier la galette des rois. « Finalement, ce réchauffement climatique a du bon », se prendrait-on à penser, en se voilant la face devant les dégâts collatéraux : quelques tempêtes par-ci, des pluies diluviennes par-là, des inondations ailleurs, et sans aucun doute une belle canicule en perspective pour cet été ...
mercredi 8 octobre 2014
vendredi 3 octobre 2014
Les Cahiers Science Vie N1481 2014
Il y a quelques mois, une entreprise chinoise du bâtiment dévoilait les grandes lignes de son projet de construction d'une ville flottante. A Mexico, un bureau d'architecte a récemment imaginé Earthscraper, un gratte-ciel inversé plongeant à 300 m sous terre. Si la technologie nous permet aujourd'hui de repousser très loin les frontières de l'inhospitalier au point de déborder du globe terrestre, et d'envisager même de nous installer sur Mars, la colonisation des milieux a priori peu propices, pour ne pas dire hostiles, à l'implantation humaine est aussi ancienne que les premières civilisations urbaines. Le froid, la chaleur, l'aridité ou l'excès d'eau, l'isolement total, l'altitude, la menace d'un volcan n'ont pu dissuader des communautés de toutes cultures de fonder là leur centre de vie. L'ampleur du défi qu'elles durent relever, la variété et l'ingéniosité des solutions adoptées font la force de ces cités. Plutôt que d'en dresser l'inventaire parcellaire sous forme de
jeudi 2 octobre 2014
Immobiler : 80% des transactions relèvent de l’informel
Le marché de l’immobilier a connu, depuis 2003, une hausse à la fois, des prix de la vente et de location. Ainsi, le prix de vente d’un F3 a été multiplié par 5 par rapport à son prix d’il y a 10 ans.
Idem pour la location d’un F3 qui a augmenté de plus de 3 fois par rapport à l’année 2003. Ces données, communiquées par Abdelhakim Aouidat, président de la Fédération nationale des agences immobilières, représentent l’évaluation de cette organisation professionnelle pour le secteur de l’immobilier durant la période allant de 2003 à 2013. D’après cet agent immobilier, depuis le séisme de 2003 survenu à Boumerdès, le prix de l’immobilier a connu une flambée. Lors d’une conférence de presse animée hier au siège de l’UGCAA à Belcourt, M. Aouidat a axé son intervention sur les facteurs qui ont contribué à l’augmentation irrationnelle du marché de l’immobilier. Bien que l’anarchie, qui règne dans le marché de l’immobilier, ait contribué dans une large mesure à la hausse des prix de l’immobilier, la cause principale reste le déficit enregistré dans le parc immobilier. Ainsi, Il n’y a que 7 millions de logements recensés pour 37 millions d’habitants. Soit 5,6% de taux d’occupation. Pour rappel, la norme est estimée à 2 personnes par logement.
Ce qui classe l’Algérie loin de cette norme. M. Aouidat charge les marchands de biens et les agents qui travaillent de manière informelle d’être à l’origine de cette flambée. « Entre le propriétaire et l’acheteur, parfois on assiste à 10 intermédiaires. Chacun de ces derniers aura sa part du marché. Cet état de fait se répercute significativement sur le prix du bien immobilier », explique M. Aouidat. Il lance un appel aux citoyens afin de traiter directement avec des agents immobiliers agréés et non pas avec des intermédiaires illégaux qui « spéculent sans argent ». Actuellement il est incapable de déterminer le prix du mètre carré en Algérie à cause de cette spéculation.
En 2006, la Fédération nationale des agences immobilières a lancé un travail de terrain pour établir un baromètre permettant aux agents immobiliers et aux institutions concernées d’avoir un outil de travail. En vain. La fédération n’a pas réussi à maîtriser les prix appliqués sur le terrain qui ne cessent d’augmenter. 80% des transactions immobilières passent par le marché informel et le montant exact de ces transactions demeure inconnu.
L’application de la nouvelle loi 09/08 portant sur la réorganisation des agences immobilières a révélé l’ampleur des transactions informelles. Avant la mise en application de cette loi, 6600 agents immobiliers ont été recensés. Alors qu’il n’y a que 3000 agents qui se sont conformés à la nouvelle loi. Tandis qu’entre 2010 et 2011, 1200 agents ont contourné la loi pour transformer leurs agences immobilières en bureau d’affaires.
Djedjiga Rahmani
El Watan - Mardi 21 janvier 2014