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samedi 19 décembre 2015

Fernand Pouillon, l'architecte du "Climat de France" à Alger


Fernand Pouillon, né le 14 mai 1912 à Cancon (Lot-et-Garonne) et mort au château de Belcastel (Aveyron) le 24 juillet 1986, est un architecte et urbaniste français.

La cité Diar el Mahçoul à Alger.

Admirateur d'Auguste Perret, il fut un des grands bâtisseurs des années de reconstruction après la Seconde Guerre mondiale en France. Il a réalisé de nombreux équipements et bâtiments publics à Marseille, Aix-en-Provence, en région parisienne, en Algérie ainsi qu'en Iran. Ses réalisations se caractérisent par une insertion dans le site, un équilibre des masses né de proportions harmoniques rigoureuses, des matériaux nobles – y compris dans le logement social – et la collaboration d'artistes sculpteurs, céramistes, paysagistes.

fr.wikipedia.org - Fernand Pouillon

mercredi 16 décembre 2015

CITÉ LES DUNES À MOHAMMADIA


Travaux de réhabilitation de deux barres d’immeubles
Les travaux portent sur plusieurs aspects de la restauration
Les locataires ont accueilli le projet favorablement.

Les travaux de réhabilitation portant sur les deux barres d’immeubles du quartier les Dunes, dans la commune de Mohammadia, ont été lancés.

D’après le président de cette APC, Kheloui Belaïd, « ces travaux consistent en la réfection de l’étanchéité, la réparation des ascenseurs, des vide-ordures, des cages d’escalier et le ravalement des façades. L’enveloppe budgétaire a été dégagée sur fonds de wilaya. Trois entreprises ont été retenues et sont d’ores et déjà à pied d’oeuvre », ajoute-t-il. S’agissant de l’intervention des services de l’APC dans le projet, M. Kheloui dira : « Nous avons pris l’initiative d’évacuer tous les débris et les gravats qui se trouvaient sur les terrasses, et ce, afin de faciliter l’intervention des entreprises. » Ces gravats entreposés sur les terrasses et les espaces communs proviennent des travaux effectués par les habitants et qui ont été laissés sur place.


« Nous avons réquisitionné des moyens matériels et du personnel pour l’évacuation de ces gravats. Cela permettra aux intervenants de mieux aborder les travaux », soutient-il. Signalons que ces deux immeubles, construits dans les années cinquante, sont actuellement très endommagés. Les entrées des cages d’escalier sont affaissées par endroits. Les vide-ordures sont obstrués par de grandes quantités de déchets et l’étanchéité laisse à désirer. Quant aux ascenseurs, les locataires affirment qu’ils ne fonctionnent pas depuis 30 ans. « Nous attendons ces travaux depuis fort longtemps. Maintenant qu’ils ont été lancés, nous espérons qu’ils seront accomplis dans les règles de l’art », affirme un locataire. Ces logements, de types F3 et F4, ont été occupés juste après l’indépendance par des familles qui s’y sont confortablement installées. La superficie de 66 m2 suffisait alors à contenir tous les membres d’une même famille. « Maintenant que les enfants ont grandi, nous sommes obligés de dormir à tour de rôle », déclare un père de famille, dont l’un des fils occupe une chambre avec femme et enfants. «Nous étions obligés de marier l’aîné de mes enfants parce qu’il a atteint l’âge limite. Ses autres frères doivent la plupart du temps dormir dans la voiture ou se relayer sur les trois matelas installés dans le salon », raconte-t-il.


La situation de ces habitants a complètement changé. La vétusté des logements et leur exiguïté les ont plongés dans une misère affligeante. Même les vide-ordures dont les résidants se vantaient ne fonctionnent que par intermittence, car la plupart du temps ils sont bouchés. « Les agents de l’OPGI arrivaient par le passé à les déboucher, mais maintenant que certains de ces travailleurs sont vieux et proches de la retraite, ils ne peuvent plus assumer une telle tâche », ironisent les occupants des lieux. L’insalubrité qui règne dans les cages d’escalier est déconcertante. « En dépit du nettoyage effectué périodiquement par les concierges, l’insalubrité dans les cages d’escalier est quasi permanente », dira un habitant.

K. Saci

El Watan - Lundi 14 décembre 2015

lundi 30 novembre 2015

k3d free software


K-3D is free-as-in-freedom 3D modeling and animation software. It features a plugin-oriented procedural engine for all of its content, making K-3D a very versatile and powerful package. K-3D excels at polygonal modeling, and includes basic tools for NURBS, patches, curves and animation. Give it a try!


http://www.k-3d.org/downloads

samedi 28 novembre 2015

OIL FROM THE SAHARA



lundi 16 novembre 2015

Algerie Tebboune à propos du minaret de la Grande Mosquée d’Alger



vendredi 13 novembre 2015

Algérie Gaspillage Fuite d'eau au milieu de la chaussée à Hydra



mercredi 11 novembre 2015

Organisation Nationale des Promoteurs Immobiliers


Récépissé d'enregistrement de déclaration de constitution d'une organisation syndicale (loi n° 90-14 du 02 juin 1990 relative aux modalités d'exercice du droit syndical)

Conformément aux dispositions de la loi N90-14 du 02 juin 1990 relative aux modalités d'exercice du droit syndical, modifiée et complétée, a été enregistrée auprès du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité Sociale la déclaration de constitution de l'organisation syndicale ci après :

Dénomination : Organisation Nationale des Promoteurs Immobiliers.

Objet statutaire : Défense des intérêts matériels et moraux de ses membres.

Siège : 84, avenue HADDAD Abderrezak Bab Djeddid Alger

Prékl«nt : SAHRAOUI M*h»mod Haut Eddmc

Cette organisation syndicale est enregistrée sous la référence N 108 R/E du 05 novembre 2015, conformément à la loi n° 90-14 du 02 juin 1990 suscitée

www.lesoirdalgerie.com - Régions : AFFAIRE SEATA Quatre autres cadres devant le juge

lundi 5 octobre 2015

PONT DE OUED DIB (MILA) - L’ouvrage est bel et bien penché


Ce qui n’était qu’une rumeur est désormais une vérité. Le pont à haubans d’Oued Dib, qui enjambe le lac du barrage de Beni Haroun, a bel et bien penché suite à un problème dans ses appareils d’appui.

L’information nous a été confirmée, hier, par une source proche de la direction des travaux publics (DTP) de Mila. Selon notre source, les deux appareils d’appui de l’ouvrage se sont écrasés sous le poids du tablier du pont, qui s’incline vers l’intérieur du lac. « Les appareils d’appui se présentent sous la forme de pièces circulaires de 3 m de côté sur 60 cm d’épaisseur. Elles sont constituées de feuilles d’acier et de caoutchouc et sont posées en haut des pylônes qui supportent le tablier de l’ouvrage. Ces deux appareils d’appui se sont écrasés sur un côté, ce qui a fait pencher le viaduc vers l’intérieur du lac », explique notre interlocuteur qui souligne, par ailleurs, que la Sapta, chargée des travaux d’entretien du pont, a envoyé de nombreuses équipes d’experts étrangers pour établir un diagnostic. « Sapta recourt à l’expertise internationale pour redresser la situation. Elle a envoyé sur les lieux des spécialistes croates, italiens et même les Brésiliens qui ont édifié le pont Ahmed Bey de Constantine. Maintenant, nous attendons les résultats des différentes expertises avant de procéder au remplacement des appareils défectueux. » notre source de la DTP nous a confié : « Naturellement, le pont sera fermé à la circulation pendant la durée des travaux de remplacement des appareils défectueux. Il s’agit de soulever la table de l’ouvrage, retirer les appareils écrasés et en placer de nouveaux. L’opération prendra quelques jours. » Il est à souligner si ce pont est fermé à la circulation, cela risque de perturber énormément le trafic routier dans la région, car cet ouvrage d’art est le seul passage praticable pour les camions de gros tonnage qui assurent la navette entre le terminal portuaire de Djendjen, dans la wilaya de Jijel, et les wilayas de l’intérieur et du nord du pays.

Kamel B.

El Watan - Lundi 5 octobre 2015

mardi 1 septembre 2015

Le climat, défi central du siècle dit Obama


Barack Obama est en Alaska pour trois jours, où il compte démontrer les effets directs des changements climatiques.Le président américain Barack Obama a affirmé lundi à Anchorage, en Alaska, que le changement climatique était le défi central du XXIe siècle, mettant en garde contre le prix de l'inaction.

« Nous sommes ici pour parler d'un défi qui définira les contours de ce siècle de manière plus spectaculaire que tout autre : c'est la menace urgente et grandissante du changement climatique », a déclaré M. Obama au premier jour de sa visite en Alaska.


Barack Obama est le premier président américain à mettre le pied dans le plus grand état de son pays, en région nordique. Il a lancé depuis l'Alaska une mise en garde à la communauté internationale : « Nous n'agissons pas assez vite! »

tvanouvelles.ca

lundi 31 août 2015

Matériaux de carrière et de construction



Plan du cours

1. Introduction
2. Propriétés des matériaux de construction
3. Différents matériaux de construction et leurs propriétés
4. Généralité sur la Durabilité des matériaux de construction
5. Quelques exemples de dégradation

Bechar (Algerie)

mardi 11 août 2015

36 modeles pour une maison


L'effort de la reconstruction et les préceptes du mouvement moderne ont poussé des générations d'architectes à réfléchir à l'habitat collectif.
C'est sous le couvert de la pensée, urbainement correcte, qui fait de l'individualisme une faiblesse et de la ville et du logement collectif le seul avenir des sociétés modernes, que notre profession s'est désintéressée de la maison individuelle ordinaire.

vendredi 31 juillet 2015

Guide pour la conception parasismique des batiments en acier ou en beton


Le présent Manuel est consacré à la conception de bâtiments selon les normes NF EN 1998-1:2004 et NF EN 1998-5:2004 et leurs annexes nationales. Il couvre complètement la conception des bâtiments modérément irréguliers en béton ou en acier dont la hauteur n'excède pas 40m. Néanmoins, il peut être utilisé pour le prédimensionnement de bâtiments plus élevés ou de configuration moins courante.


Guide de localisation des astres


Notre univers ne cesse de nous fasciner et nombreux sont ceux qui consacrent leur vie professionnelle ou leurs loisirs à son observation, afin d’en percer les mystères ...

Guide de localisation des astres.pdf


dimanche 19 juillet 2015

Concevoir et Construire en Acier


L'acier est un matériau de construction universel, présent dans les bâtiments sous de multiples formes.

vendredi 10 juillet 2015

Datation absolue des roches de la croute continentale


La détermination de l’âge de la croûte continentale se fait par datation des roches qui la constituent, en particulier les granites. Cette datation s’appuie sur les propriétés de désintégration des isotopes radioactifs de certains atomes

samedi 20 juin 2015

Geometre expert foncier


La profession de géomètre expert foncier n’est pas suffisamment réglementée et pas assez « protégée ». C’est ce qu’a indiqué le président du Conseil national de l’Ordre des géomètres experts fonciers (OGEF).

Rym Nasri - Alger (Le Soir) - Quelle est la situation de l’exercice de la profession de géomètre expert foncier en Algérie ? Une question qui préoccupe énormément l’OGEF, vingt ans après la création de cette profession.

« Les tâches de géomètre prêtent beaucoup à confusion dans l’intervention de certains professionnels, d’où la nécessité de bien les protéger par des textes bien définis », a affirmé le président du Conseil national de l’OGEF, Sebti Sidhoum, hier, en marge de la 6e assemblée générale de l’Ordre des géomètres experts fonciers, tenue à l’hôtel Sheraton à Alger.

Il précise que depuis la promulgation de la loi en 1995, seul un décret exécutif s’en est suivi une année plus tard pour organiser les structures de l’OGEF. Un décret qui, en réalité, n’a concerné que l’organisation des conseils régionaux et leur fonctionnement. « Il n’y a eu depuis aucun autre texte », précise-t-il avant de plaider pour une « confortation » sur le plan réglementaire. « La loi a toujours besoin de textes d’application », a-t-il ajouté.

Il a également plaidé pour la tenue d’un Conseil supérieur de l’OGEF. « Le tout dernier a eu lieu en 1999 alors que la réglementation stipule à ce qu’il se tienne tous les ans », a-t-il rappelé.

En l’absence d’une réglementation suffisante, l’exercice de la profession de géomètre expert foncier continue de rencontrer de nombreux problèmes à l’échelle nationale. « Sur la scène internationale, l’Algérie est classée parmi les premiers pays en matière de problèmes juridiques et de problèmes liés à la justice au foncier », soutient encore Sebti Sidhoum.

Tous ces problèmes, assure-t-il, n’ont point affecté le professionnalisme dont font preuve les géomètres experts fonciers à travers tout le territoire national.

Il cite ainsi de nombreux projets réalisés avec la rapidité exigée grâce à ces professionnels tel que le projet de l’autoroute.

« Les géomètres ont participé et joué leur rôle notamment dans le cadre des expropriations ».

Le président du conseil national de l’Ogef évoque, en outre, le volet formation de ces spécialistes. Pour lui, la formation des géomètres doit être adaptée avec l’exercice de la profession. « L’Algérie dispose d’une école créée avant la création de l’Ordre qui forme des ingénieurs en topographie et en géodésie. Nous réclamons à ce que le programme de formation soit adapté avec l’exercice de la profession afin de pouvoir répondre aux besoins de l’économie nationale », dit-il.

Le Soir d’Algérie Mercredi 19 novembre 2014

fr.wikipedia.org - Géomètre-expert
ANSEJ - Cabinet de Géomètres Métreurs.pdf
Fiche sur la législation foncière actuelle en Algérie.pdf
www.ogef-dz.com

Algérie - Manœuvres en préparation a un séisme destructeur


mercredi 3 juin 2015

AMENHIS Mars-Avril 2012


L'architecture de demain, humaine, vrvablo. complètement intégrée aux éléments naturels indispensables a l'épanouissement et au bonheur de l'homme ; voilà un sujet de réflexion que devraient saisi architectes, urba-nistes et autres spécialistes.
M'Hamed Sahraoui

lundi 1 juin 2015

8 plans de maisons individuelles signes M'hamed Sahraoui



L'architecture de demain, humaine, vivable, complètement intégrée aux éléments naturels indispensables à l'épanouissement et au bonheur de l'homme ; voilà un sujet de réflexion que devraient saisir architectes, urbanistes et autres spécialistes. Car en Algérie, il faudrait bien l'admettre, jusqu'à l'heure actuelle il n'est pas tenu compte, ou si peu, de la riche expérience de beaucoup de pays dans le monde. Toujours et encore s'érigent d'immenses cités-dortoirs, agressives à la vue, génératrices de mal-vie, allant du simple ennui à la morosité chronique, inhibitrices, et par conséquent porteuses de potentiels préjudices aux plans social et psychologique. Alors qu'à l'ère du numérique et d'une qualité de vie plus adaptée aux progrès technologiques nombre d'Etats font de plus en plus appel à cette réflexion pluridisciplinaire à la recherche d'une meilleure réadaptation de l'architecture et de l'urbanisme, chez nous l'environnement se dégrade. Des plans-types de bâtiments rectangulaires, monotones et sans âme sont systématiquement transposés à travers le territoire national. Sans prise en compte du mode de vie des populations. Sans espaces verts et de loisirs. Rien. Rien qui ressemble à un espace vert ou à une sphère communautaire rappelant une vie de quartier. Les enfants n'ont pas d'autre alternative pour s'amuser que d'aller jouer dans des rues étroites où le danger les guette à tout moment, sous la chaleur ou sous la pluie. L'édification des ces grandes cités dépourvues des aménagements et des accompagnements requis, de dessertes obligées et par des lignes de transport appropriées, portent un coup fatal à l'épanouissement d'une population le plus souvent active mais privée d'un cadre de vie décent. En fin de compte, le respect que l'on doit à l'architecture est un peu comme celui qu'on doit à un pays. Il est étroitement lié, aussi, aux valeurs culturelles et à la civilisation de ce pays. Du point de vue sociologique, le paysage algérien a fortement changé. Les repères et les références ont évolué. Et surtout, l'Algérie actuelle représente un très riche vivier de jeunes (qui atteint environ 70% de la population) tournés vers l'avenir, branchés eux également à l'ère de la parabole et du numérique, qui en veulent ; et pas tous destinés aux groupuscules harraga, loin s'en faut. C'est vers cette immense richesse qu'il y a urgence de penser en termes d'architecture moderne, humaine, vivable. Il s'agit de canaliser ce formidable réservoir d'énergies dans un projet de société à la hauteur de l'œuvre titanesque que connaîtra le développement inévitable de note pays, dans une communion valorisante et porté par tous ses habitants.

lundi 25 mai 2015

Des inondations soudaines au Texas


Des inondations au Texas ont fait au moins un mort, plusieurs disparus et détruit des maisons dimanche, selon les autorités américaines. Elles préviennent qu'une nouvelle dégradation des conditions météorologiques est attendue.



www.bluewin.ch

samedi 23 mai 2015

L'Anglettere frappee par un seisme


Un léger tremblement de terre a été signalé au large de la côte britannique, à environ 2 kilomètres à l’ouest de Ramsgate, dans le Kent. D’une magnitude de 4,1 selon l’Observatoire royal de Belgique, le séisme s’est produit à 3h52 et a aussi été ressenti dans certaines régions de Belgique, jusqu’à Rochefort.

Ce tremblement de terre dont l’hypocentre avait une profondeur de 15 km n’a provoqué que peu de dégâts. Selon les médias britanniques, aucun blessé n’a été signalé. La police de comté de Kent a toutefois reçu des appels de citoyens inquiets après les secousses qui ont duré une dizaine de secondes.

www.lavenir.net

vendredi 22 mai 2015

Rais Hamidou


Raïs Hamidou (anciennement Pointe-Pescade lors de la colonisation) est une commune de la wilaya d'Alger en Algérie, située dans la banlieue Nord-Ouest d'Alger.



fr.wikipedia.org - Raïs Hamidou (Alger)

Algerie تدمير عدة منازل في الجنوب

jeudi 21 mai 2015

El-Harrach


El-Harrach (ex-Maison-Carrée) est une commune et daïra de la wilaya d'Alger en Algérie. Elle se situe dans la banlieue Est d'Alger.

Ses habitants sont appelés les Harrachis.

fr.wikipedia.org - El-Harrach



vendredi 15 mai 2015

Sperficie a urbaniser (Alger)


En 2014, Alger couvrait ses besoins à 66% en matière de maraîchage et 44% pour la pomme de terre. « Nous avons demandé à revoir le tableau des superficies à urbaniser, car cela aggravera la déperdition des terres agricoles, c’est le quart du potentiel qui sera encore perdu », explique encore M. Hamdaoui. La direction des services agricoles d’Alger propose alors, dans le but de concilier l’obligation de préserver les terres agricoles et respecter l’impératif de réalisation du programme public à travers le plan stratégique de modernisation de la capitale, de se pencher sur le scénario développé par l’expert Benaïssa, consultant auprès de la wilaya d’Alger, de requalification du tissu urbain existant. Une option que Djamel Chorfi, président du Conseil national de l’Ordre des architectes algériens défend aussi : « Il faut construire la ville sur la ville ». « Le principe est simple, il y a un foncier invisible à Belcourt et Hussein Dey. Des hangars abandonnés, des dépôts, des anciennes usines et casernes non opérationnels qui représentent des centaines d’hectares pouvant être récupérés pour les projets de la wilaya ». Car, pour M. Chorfi , la ville ce n’est pas seulement du « logement », y a lieu de créer des espaces publics. Un objectif aussi tracé par la Direction générale de la Ville dans le cadre du PDAU. Dans le triangle d’Hussein Dey, « il existe des activités à supprimer pour créer des friches industrielles et prévoir une régénération urbaine », apprend-on. A Hussein Dey justement, les abattoirs devraient abriter d’ici à quelques années les nouveaux sièges de l’APN et du Sénat, alors que les sièges actuels seront transformés en musées, affirme une source proche du dossier. Mais, selon M. Chorfi , il ne s’agit pas seulement de répondre à une pression sociale pour construire des logements et équipements, mais de répondre à un « lobby politico-économique foncier ». Chorfi est catégorique : aujourd’hui, le PDAU n’est toujours pas approuvé, il est dépassé et ne peut correspondre à la réalité. Selon lui, il y a eu consommation d’espaces que le PDAU avait pourtant intégrés dans ses projets. Résultat : lorsque le PDAU sera finalisé et adopté, il pourrait ne pas trouver les assiettes foncières choisies.

El Watan Week-end
Vendredi 15 mai 2015

mercredi 13 mai 2015

Inge Lehmann découvre le centre de la Terre

accromath.uqam.ca

Le Point - Publié le 13/05/2015 à 00:00 - Modifié le 13/05/2015 à 00:49 Google rend hommage à la sismologue danoise, née le 13 mai 1888, à l'origine de la découverte du coeur de la Terre, composé d'une partie liquide et solide.

www.lepoint.fr


mardi 12 mai 2015

Nouveau séisme au Népal de 7,3 sur l'échelle de Richter


La terre a de nouveau tremblé ce mardi 12 mai à Katmandou. Nous étions en voiture, avec le photographe Prakash et mon accompagnatrice Ingrid, pour nous rendre à un rendez-vous à la Trade Tower Nepal, au Sud-Est de Katmandou. A 12h50, toutes les vitres de ce petit immeuble de bureaux se sont ouvertes violemment. La terre s’est mise à onduler. "Earthquake !", a crié notre photographe, en s’éjectant de la voiture.


tempsreel.nouvelobs.com

dimanche 26 avril 2015

فندق بنوافذ ورقية

Algerie les seismes sont previsibles

Séisme de 7,8 frappE le Népal samedi matin


Le tremblement de terre qui vient de dévaster la vallée densément peuplée de Katmandou, et qui a fait au moins 1 300 morts, n'est une surprise pour personne : de nombreux habitants de la capitale du Népal, sans parler des sismologues, savaient que, très bientôt, un séisme risquait de frapper à nouveau l'ancien royaume himalayen.

« Tous les cinquante ans, un tremblement de terre a lieu, on redoute le prochain et il pourrait se produire très bientôt », disait au Monde en décembre dernier Kunda Dixit, rédacteur en chef de l'hebdomadaire Nepali Times.



www.lemonde.fr

jeudi 16 avril 2015

Rehabilitation des batisses a Alger


Certains quartiers de la capitale se sont transformés depuis peu en chantiers à ciel ouvert. Après les expertises, place aux travaux de réhabilitation des bâtisses ayant subi des dommages suite au séisme qui a frappé le centre du pays au mois de mai dernier.

Nawal Imés - Alger (Le Soir) - Si les habitants ne cachent pas leur soulagement de voir leurs demeures confortées par des travaux de réfection, certains entrepreneurs contestent la manière dont ont été choisies les entreprises chargées des travaux.
Les avis d'appels d'offres ont cédé la place au gré-à-gré, une pratique que les responsables des opérations justifient par l'urgence de la situation. Ils estiment que du moment que les coûts des travaux ont été arrêtés par le ministère de l'Habitat, il n'était pas nécessaire de faire jouer la concurrence.
Certains entrepreneurs véreux n'auraient pas raté l'occasion de proposer des prix très attractifs en contre-partie d'un travail de piètre qualité.
Pour répondre à une situation d'exception, les services de la wilaya d'Alger, et après avoir mobilisé pas moins de 29 brigades d'expertise, ont signé 95 arrêtés de démolition. Pas moins de cinq entreprises ont été retenues pour ramasser les éboulis. Alger offrant un triste visage, il était urgent de ramasser les gravats.
Pour l'heure, ils sont stockés au niveau du front de mer à Bab-El-Oued vu qu'aucune solution n'a encore été envisagée pour s'en débarrasser définitivement. Le travail du CTC (Contrôle technique des constructions) étant achevé, l'étape suivante a consisté à réhabiliter l'ensemble des structures endommagées. Pour ce faire, Alger a été divisée en dix zones, chacune comportant un certain nombre de communes classées sinistrées.
Les zones sont placées sous l'autorité des Offices de promotion et de gestion immobilières (OPGI), à l'instar de celles de Dar-El-Beïda, de Husseïn-Dey ou de Bir-Mourad-Raïs, qui sont de ce fait considérés comme les maîtres d'ouvrages.
C'est à eux par la suite de faire appel aux entreprises de bâtiment. C'est le cas de l'entreprise privée Belarbi Larbi qui s'occupe de la réfection de l'imeuble sis 4, rue Rezki-Kehal, à Belcourt.
Retenue suite à une convention la liant à la wilaya d'Alger, l'entreprise, qui est sur place depuis une semaine, a mobilisé 14 personnes afin de respecter les délais imposés.
L'immeuble de neuf étages devra être retapé avant la fin août, selon les exigences des responsables de la wilaya. Un délai qui risque de s'avérer trop court au regard des dégâts occasionnés par la secousse tellurique du 21 mai dernier.
Les locaux de la police judiciaire de Belouizdad, se trouvant au rez-de-chaussée d'un immeuble, sont en effet très endommagés. Le faux plafond est tombé et les piliers ont subi des dommages considérables : fissurés, ils ne peuvent plus soutenir la bâtisse. Ammi Hacène, le chef de chantier, a eu à constater des aberrations. Le gravier utilisé dans la construction des piliers n'est pas conforme.
" Le gravier rond ne peut être utilisé que pour le recouvrement des terrasses, jamais pour des piliers ", explique ce vétéran du bâtiment qui exerce dans le secteur depuis plus de quarante ans.
La bâtisse, datant de l'époque coloniale, n'a pas résisté au tremblement de terre, les infiltrations d'eau ayant eu raison du fer utilisé lors de la construction.
Le chef de chantier estime que des travaux de réfection ne doivent jamais être faits à la hâte et que le confortement des bâtisses est un travail de longue haleine qui pourrait prendre au moins une dizaine d'années avant de donner des résultats probants.

Le Soir d’Algérie Jeudi 24 juillet 2003

lundi 30 mars 2015

et si l'Algerie est frappe par un seisme majeure (algerie360)


Les séismes se multiplient ses derniers jours dans le nord du pays. Au moins cinq wilayas ont connu des secousses telluriques ces dix derniers jours, créant un sentiment de peur et d’inquiétude parmi la population.

La dernière en date est survenue dans la matinée d’hier à 11h 22 mn, dans la wilaya d’Alger. En fait la capitale a connu une secousse tellurique d’une magnitude de 3,6 degrés sur l’échelle ouverte de Richter. L’épicentre de la secousse a été localisé à 30 km au nord ouest de Aïn Taya, en mer.

www.algerie360.com


mardi 24 mars 2015

Oran - Vieux batis

Plus de 8 milliards de centimes, soit 8,425 milliards de centimes, ont été consommés sur le budget alloué pour la réhabilitation des 600 immeubles du centre-ville et qui est de l’ordre de 22 milliards de centimes, fait savoir la responsable de la communication à l’office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) d’Oran. Le programme a été réparti en deux tranches dont la première englobe 200 immeubles répartis à travers trois sites. L’étude relative à la réhabilitation de ce quota a été achevée, indique-t-on. Les travaux de réhabilitation de 86 immeubles ont été achevés alors que pour les 28 autres bâtisses, le projet est en cours de réalisation. L’opération a ciblé 120 immeubles du centre-ville situés entre la rue Mohamed Khémisti et la rue Larbi Ben M’hidi. La seconde concerne une quarantaine d’immeubles recensés au niveau du boulevard Maâta alors que la troisième cible une trentaine d’immeubles au quartier de Sidi El Houari.



La seconde tranche porte sur la réhabilitation de 400 immeubles, soit un total de plus de 600 immeubles. Ces chantiers confiés à des entreprises étrangères, notamment des sociétés espagnoles et italiennes spécialisées dans la restauration du vieux bâti, ont été à l’arrêt pendant plusieurs mois au niveau du boulevard Maâta où des entreprises espagnoles ont dû recourir à la compression des ouvriers pour non paiement. Cette situation a été dénoncée avec acuité par les habitants de cette artère commerçante où des échafaudages ont été installés mais restées malheureusement en l’état. Des entreprises italiennes, françaises et espagnoles ont été, pour rappel, désignées pour réaliser ces travaux et il a été fait appel à une main d’oeuvre locale dont des diplômés universitaires en BTP.

F. A.
El Watan - Mardi 24 mars 2015

L'Algerie est un chantier perpetuel

jeudi 19 mars 2015

L'Est algérien du foncier précolonial à la Révolution agraire


Comment était organisé l'espace algérien à la veille de l'occupation française ? Quels étaient les objectifs de la colonisation ? Quels furent les territoires les plus touchés ? Et pourquoi ? Comment s'est faite la pénétration européenne ? Quelles en furent les conséquences ? Colonisation de peuplement ? Par qui ? Comment a évolué la population européenne ? la population algérienne ? C'est à travers des cartes thématiques (qualitatives et quantitatives), des graphiques, que l'auteur tente de répondre à ces questions et mettre en exergue le déracinement et la destruction du peuple algérien. Cadastre et statistiques lui ont permis de reprendre les états, les évolutions pour comprendre la situation foncière actuelle de l'Algérie et plus précisément de l'Est algérien.

Biographie de l'auteur

Titulaire d'une thèse de 3e cycle (université de Montpellier), Ménouba Benmati-Hamani a enseigné la cartographie et le traitement graphique de l'information à l'université de Constantine, puis à l'université d'Alger jusqu'en 1995.

www.amazon.fr (Quand cartes et graphiques racontent l'histoire)

samedi 21 février 2015

Algerie - le grand BRIKOLAGE

Si les routes commencent a tomber en miettes, eux qui ont couté les milliards en devises étrangère et faits par des bureaux d’études réputés, que dira-ton des milliers d'immeubles façonnés de produit périmé et de fer parfois contaminé et hors d’usage, sans aucune prévention sismique ...



El Watan - Samedi 21 février 2015

mercredi 18 février 2015

Affaissement d'une route dans la viellle ville de Skikda


Un spectaculaire affaissement s’est produit, hier à 8h 05, à la rue Abdelhamid Boutelja, près de la mosquée Sidi Ali Dib, dans la vieille ville de Skikda. Un pan entier de la chaussée s’est effrité pour se détacher et chuter, emportant le mur clôturant un immeuble, situé en contrebas. «Heureusement que les enfants étaient déjà sur leurs bancs de classes, car dix minutes seulement avant cet accident, cette rue grouillait d’écoliers», témoigne un habitant des lieux. D’autres habitants rapportent, avec insistance, que cet accident était prévisible. «Cela fait plus d’un mois qu’une large fissure était apparue sur cette chaussée, mais rien n’a été fait.

dimanche 15 février 2015

L’incendie de Aïn Benian peut se reproduire


Un incendie s’est déclaré vendredi dernier au marché communal du 8 Mai 1945 à Aïn Benian, dont une grande partie a été dévastée par les flammes. Les services de la Protection civile sont intervenus pour circonscrire le feu, qui a été provoqué par un court-circuit. Les flammes ont détruit une dizaine d’étals. Quelle que soit l’origine de ce sinistre, il convient de signaler l’absence totale de normes de sécurité dans cette structure commerciale qui, en pareille circonstance, auraient été salvatrices. Cette situation n’est cependant pas propre à ce marché, l’absence d’un dispositif de sécurité prévaut dans la majorité des mêmes structures de la capitale. A Réghaïa, un incendie s’est déclaré l’année dernière dans un marché semblable à celui de Aïn Benian. Les flammes y avaient dévasté une dizaine d’étals également. En réalité, ces lieux de vente sont des baraques et des mansardes de fortune faites de tôle ondulée et de carton. A l’intérieur de ces structures, les allées sont étroites et forment un labyrinthe qui ne permet la sortie que par deux portillons. Les issues de secours et les portes de sortie font cruellement défaut. D’après un élu de l’APC, « après cet incendie, l’APC a obligé les marchands à installer des compteurs électriques pour éviter les courts-circuits et des extincteurs qui peuvent être utilisés en cas de nécessité ».




Toutefois, ces mesures ne peuvent pas à elles seules endiguer le risque qui est désormais permanent. « Nous avons demandé à la wilaya la réalisation d’un marché à étages à la place de l’actuel. Nous attendons toujours la concrétisation du projet », poursuit-il. En attendant que le projet voit le jour, les commerçants et les clients de ce marché tentaculaire courent un grand risque en cas d’incendie. Outre celui qui se trouve à proximité de la gare de Réghaïa, un autre a été installé en plein centre-ville, dans une ruelle qui fait jonction entre l’artère principale du chef-lieu et la cité Segna.

Cette ruelle a été complètement fermée par les étals des marchands. A l’intérieur, aucune issue ne permet aux clients et aux marchands de s’échapper en cas d’embrasement. Le même constat est à déplorer également à Rouiba, où un marché se trouvant au centreville, appelé communément la Braderie, présente tous les signes avant-coureurs d’une catastrophe, car il ne compte que quatre sorties. En cas d’incendie, il serait pratiquement impossible d’évacuer les personnes. Signalons que ce dernier a été fermé par les services de l’APC durant quelque temps. Néanmoins, la pression exercée par les exploitants a fini par avoir raison, et il a été en fin de compte rouvert.

Hormis quelques extincteurs qui sont accrochés aux entrées, aucune autre disposition de sécurité n’a été prévue.

Les pouvoirs publics sont appelés à faire leur travail en matière d’application des normes de sécurité dans les structures commerciales. En l’absence de ces dernières, d’autres incidents peuvent certainement se produire.

K. Saci
El Watan - Dimanche 15 février 2015

vendredi 16 janvier 2015

Travaux pratiques - Projet routier


Ce module consiste à doter le géomètre topographe avec des connaissances pour les mesures sur terrain destinés pour élaboration d’une projet routier et son implantation sur terrain dans la réalisation des travaux en construction sur le chantier ou bien dans élaboration des études dans un bureau d’étude.

Le module a été élaboré en deux parties : Résumé de théorie et Guide de travaux pratiques avec des beaucoup d’exemples pour les travaux pratique.

mercredi 7 janvier 2015

Record de chaleur en 2014




MÉTÉO FRANCE vient de confirmer que l’année 2014 avait été l’année la plus chaude jamais enregistrée en France depuis 1900. La température moyenne nationale a ainsi dépassé de 1,2 °C la normale. L’année a été très douce sur l’ensemble des régions, sans pour autant connaître des périodes de fortes chaleurs. Le nombre de jours de gel a, par contre, été très inférieur à la normale. Le thermomètre n’est descendu que 2 jours en dessous de 0 °C à Paris contre 25 habituellement, 3 jours à Brest au lieu de 16, 5 jours à Marignane au lieu de 25, 12 jours à Lyon au lieu de 50, 17 jours à Tarbes au lieu de 41, 27 jours à Clermont-Ferrand au lieu de 64 et 29 jours à Strasbourg au lieu de 66. De leur côté, les précipitations ont été supérieures de plus de 20% en Bretagne, dans le Poitou, sur l’ouest des Pyrénées et dans le quart sud est du pays.

Le Parisien Mardi 6 janvier 2015

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